Cinéma: Astérix aux Jeux Olympiques
De retour au cinéma pour la troisième fois, Astérix (Clovis Cornillac et non plus le fatiguant Christian Clavier) prend cette fois la direction de la Grèce pour participer aux Jeux Olympiques.
Nettement moins réussi que l'épisode réalisé par Alain Chabat, ce film réussit pourtant à nous divertir et offre même une scène de char digne des plus grands films hollywoodiens!
Alafolix, un jeune Gaulois, est terriblement amoureux de la princesse grecque Irina. Afin de conquérir son cœur et de la débarrasser de l'emprise de Brutus, il se voit dans l'obligation de remporter les Jeux Olympiques avec l'aide de Astérix et Obélix.
Les héros de ce nouvel épisode? Benoît Poelvoorde (cupide et traître à souhait) et Alain Delon (tordant quand il se moque de lui-même) qui se livrent un duel sans merci dans leurs rôles respectifs de Brutus et de César. A leurs côtés, les autres petits nouveaux semblent bien insipides: un José Garcia énervant, Elie qui fait du Semoun ou encore Franck Dubosc reconverti en barde exaspérant. Mais quelques bonnes surprises viennent rattraper ces performances, dont les apparitions fugaces mais mémorables de Francis Lalanne, Jamel Debbouze ou quelques sportifs comme Zidane, Parker ou Mauresmo.
(SD)