«Kingston love 2» (Discograph)
Cette très bonne compil pour nous prouver que le reggae se conjugue, aussi, différemment que par l’intermédiaire des Marley, Sly & Robbie ou les autres grandes pointures jamaïcaines.
Sans renier les racines du genre, l’album quitte résolument les Caraïbes et les palmiers pour visiter le dub malien, le dub électro allemand et même le reggae néo-zélandais. En treize tranches (plus une cachée), nous découvrons bien vite que le reggae est bien plus qu’un courant musical, mais plutôt un art de vie qui se partage.
Notre avis: ***
(JM)