Tomb Raider: the Angel of Darkness (PlayStation 2)
Lara Croft est de retour. Pas seulement sur grand écran, mais aussi dans son aspect virtuel d'origine. Après quatre années de patience, les fans peuvent enfin profiter une fois de plus de la vue du derrière de l'héroïne virtuelle aux formes généreuses.
Von Croy, l'ancien mentor de Lara Croft, gît mort dans le salon quand Lara arrive sur les lieux. Pour la police, il n'y a pas de doute possible et elle devient le suspect principal du meurtre. Sa fuite et sa quête de la vérité emmènent Croft dans une aventure
Tomb Raider typique et facilement identifiable.
Vu que le dernier
Tomb Raider date du millénaire précédent, il est plus que logique qu'il y ait eu beaucoup de progrès graphique entre-temps. Ainsi, Lara est composée dorénavant de 5000 polygones, contre 500 auparavant. Mais il est impossible de savoir combien de polygones se trouvent dans la poitrine de Croft.
Le gros point noir du jeu est la position de la caméra qui reste fixe. Parfois, tu perds inutilement une vie quand la perspective change et tu te retrouves dans un ravin. La jouabilité est aussi difficile, mais après un temps d'adaptation, tu t'y habitues.
Tomb Raider: the Angel of Darkness est même sans l'apparition d'Angelina une très Jolie réussite, mais il est clair qu'on est quand même loin d'un jeu révolutionnaire.