KOT À L'HONNEUR: Kot et Danse

Dans chaque numéro du Guido Magazine, nous mettons un kot-à-projet à l'honneur. Et c'est aujourd'hui Juliette du Kot et Danse qui a accepté de répondre à nos questions

Pourquoi un kot-à-projet?

Juliette: Pour rencontrer des gens, faire la teuf et du pâté avec nos amis kapistes, porter un projet à bon terme, se lier avec une nouvelle famille, découvrir Louvain-la-Neuve autrement, se la péter en faisant la bise à tout le monde lors des petites Casas du mercredi, expérimenter l’absurdité du souper des KAP, avoir une super casquette pour la modique somme de 3 euros, se marrer et s’ouvrir à de nouvelles expériences.

Le projet?

Juliette: Enflammer le dancefloor des podiums cercliens, bouger son boule quand on entend du bon son, faire péter les watts en souper interkaps… Et s'éclater, s'éclater et encore s'éclater!

Les activités?

Juliette: On organise et danse lors d’un énorme spectacle de qualité, on prépare une pure nuit du rock, un bal folk du tonnerre, un improdanse (battle de danse) du feu de Dieu, sans oublier les 3 heures de cours de danse du mardi soir. Mais aussi et récemment des initiations au Pole Dance et au Break Dance ainsi que la projection, cette année, d’un film. Puis, quand on a le temps de s’ennuyer, on peut aussi accepter les invitations d’autres kots pour danser à leurs événements (rentrée sportive, 24 Heures, Welcome Spring Festival, Mozaik, …).

Différent d'un kot "traditionnel"?

Juliette: Un KAP permet des rencontres et des liens qui se créent et se renforcent grâce à la mobilisation autour d’un projet, l’absurdité de certaines expériences, la découverte sous un nouvel angle de notre douce ville universitaire, la sociabilité, la solidarité, le sens des responsabilités mais aussi le sens de la teuf!

Avantages et inconvénients?

Juliette: On rencontre un tas de gens, on apprend à vivre en communauté, à faire des compromis, à se sociabiliser, à organiser des évènements. On participe à un tas de chouettes activités et on ne s’ennuie jamais! En contrepartie, cela demande de l’investissement et du temps. À part ça, zéro inconvénient!

Un meilleur souvenir?

Juliette: Pas un mais un millier (haha, archi cucul!): les sorties de kots, les restos, les moments chill entre nous, les soirées films, mais aussi les grosses teufs, la fois où Vinc a débarqué dégommé au cours de rock et qu’il s’est cassé le pied, le plaisir d’accueillir et de passer de bons moments avec les anciens, les week-ends de kot, et même tout simplement le quotidien de la vie en communauté…