Interview avec le CI (Louvain-la-Neuve)
C'est du 16 au 18 mars 2004 que se déroulera la désormais légendaire revue du CI de Louvain-la-Neuve. Comme Guido est toujours là où ça se passe, nous t'avons dégoté une petite interview avec le délégué "Revue", Thibault Helleputte.
GUIDO: La revue du cercle industriel? Qu’est-ce que c’est ça?
Thibault: C’est un spectacle musico-théatral, c’est à dire que c’est une pièce de théâtre complètement écrite par les étudiants dont le but est de passer en dérision tous les problèmes que l’on peut rencontrer aussi bien au sein de la faculté des sciences appliquées que plus généralement dans la vie universitaire. On en profite pour se moquer des professeurs, mais bien sûr, ça reste correct et bon enfant et le spectacle est entrecoupé de chansons dont les paroles sont aussi remaniées à la sauce « revue ».
GUIDO: Et vous attendez combien de personnes pour cette activité?
Thibault: La revue, c’est trois soirs, les 16, 17 et 18 mars, et chaque soir, on attend plus de 600 personnes.
GUIDO: Combien cela coûte-t-il pour assister à cet instant mémorable?
Thibault: Ca coûte 11,50 € par personne, mais si on possède la carte du CI, il y a une réduction et ça ne revient plus qu’à 10 €.
GUIDO: Vous avez une carte de cercle? Quelle organisation, vous êtes donc un cercle qui bouge beaucoup!
Thibault: Ben oui, on essaie.
GUIDO: Et qu’est-ce que vous faites d’autre sur l’année?
Thibault: Il y a plein de choses, on organise le bal des bleus avec l’AMD, on participe aux 24 h vélos, on organise un bal pour la Saint-Valentin, on organise aussi les sports d’hiver et toutes les semaines on publie aussi un petit journal.
GUIDO: Est-ce que le CI n’est pas aussi impliqué dans les baptêmes?
Thibault: Si, évidemment, bien sûr, pendant tout le début de l’année, il y a une période de bleusailles qui se clôture avec le soir du baptême. Et tous les mardis après-midi, le cercle organise aussi des coronas avec des dépucelages de calottes.
GUIDO: Merci Thibault, si j’arrive à me lever de ce bureau un mardi, je vous accompagnerai peut-être pour une bonne corona.
(GP)