KOT À L'HONNEUR: Le Kot Amnesty
Dans chaque numéro du Guido Magazine, nous mettons un kot-à-projet à l'honneur. Et ce sont aujourd'hui Sofia, Annick et Alexis du Kot Amnesty qui ont accepté de répondre à nos questions.
Pourquoi?
Sofia: Pour m’investir dans un projet qui me semble sensé et rencontrer des personnes dynamiques et motivées par un projet qui leur tient à cœur.
Le projet?
Annick: Le Kot Amnesty a pour but de sensibiliser la communauté étudiante aux injustices et aux bafouements des droits de l’Homme à travers le monde. Nous sommes un groupe local d’Amnesty International et participons donc aux différentes campagnes de l’organisation.
Les activités?
Annick: Des écritures de lettres pour la libération d’individus en danger chaque mois, la Semaine Amnesty au premier quadrimestre avec conférences, actions chocs, pièces de théâtre, projection de films, la 'Campagne bougies', des conférences diverses, 'Boug’ici (un dîner-débat autour d’un thème particulier, par exemple cette année: la démocratie dans le monde) ainsi que différentes actions selon les campagnes menées par Amnesty International.
Différent d'un kot 'traditionnel'?
Alexis: Nous portons ensemble un projet qui nous tient tous à cœur, ce qui crée évidemment des liens et une ambiance unique. Etre un KAP, ce n’est pas juste vivre sa petite vie de son côté, c’est vivre avec des personnes qui ont les mêmes intérêts.
Avantages et inconvénients?
Alexis: Beaucoup d’avantages: des rencontres, une ambiance 'kapiste', des opportunités de s’informer sur des sujets très variés ou de participer à des activités uniques, …
Sofia: Côté inconvénient, cela prend du temps mais en s’engageant, on le sait!
Un meilleur souvenir?
Annick: Il n’y en a pas un en particulier mais toutes les soirées que nous passons 'en famille', à papoter, débattre et rigoler ensemble.
Une anecdote?
Sofia: Lors d’un souper de recrutement l’année dernière, un migrant est venu sonner à notre porte, cherchant refuge. Il a donc passé la soirée avec nous et dormi au kot et est revenu manger avec nous à plusieurs reprises. Cela illustre bien le projet du Kot Amnesty.