CERCLE À L'HONNEUR: Le Cercle Industriel (CI)
Dans chaque numéro du Guido Magazine, nous mettons un cercle à l'honneur. Et c'est aujourd'hui Andréas du Cercle Industriel (CI) de Louvain-la-Neuve qui a accepté de répondre à nos questions.
Pourquoi?
Andréas: «Dans un premier temps, j’ai été au Cercle Industriel pour rencontrer des gens de ma faculté, et les moments que j’ai pu passer grâce aux étudiants investis m’ont donné envie de faire la même chose pour que le cercle continue d’offrir des moments chouettes aux étudiants. Pour la gnole.»
Le cercle?
Andréas: «Un grand groupe d’étudiants soudés qui passent des bons moments ensemble grâce à la guindaille mais aussi grâce aux liens créés à travers les différentes activités que le cercle propose.»
Les activités?
Andréas: «On en a plein: le baptême étudiant au début du premier quadrimestre (pas besoin de développer ce point je pense), la Revue des Ingénieurs (un spectacle satyrique qui réunit plus de 300 participants sur la scène de l’Aula Magna), le Bal des Bleus (une énorme soirée sur la Place Galilée, organisée avec la MDS), une scène et des activités aux 24 Heures Vélo, le Bal Saint-Valentin (une soirée ou on décore la Casa pour une soirée chic et posée), … Le CI dépose aussi un journal facultaire très peu sérieux dans le hall Sainte-Barbe chaque semaine.»
Guindailles?
Andréas: «On est ouverts tous les jours à partir de 12h45, contrairement à la majorité des cercles, on fait des happy hours régulièrement, l’ambiance y est rarement absente. On adore rigoler et on se fait un plaisir de faire découvrir le folklore néo-louvaniste à qui le souhaite!»
Avantages et inconvénients?
Andréas: «Dans un premier temps, c’est là qu’on rencontre facilement des gens qui sont dans les mêmes études que nous, que ce soit via le baptême étudiant ou non, ensuite cela permet d’avoir une activité sur le côté qui ne soit pas prise de tête et où on est sûr de toujours passer un bon moment! Côté inconvénients: l’investissement, ça prend du temps et c’est parfois difficile de mettre ça en parallèle de ses études.»
Une anecdote?
Andréas: «Il y a peu, nous avons calotté Monsieur Blondel, le recteur de l’UCLouvain, avec une calotte honorifique spéciale fabriquée sur mesure pour l’occasion. Cela a un peu marqué la fin des événements spéciaux pour les 150 ans mais c’était une belle manière de clôturer cette année (voir photos).»

Le meilleur souvenir?
Andréas: «La semaine des 150 ans, pendant toute la semaine on a pu y revoir ou rencontrer des anciens du CI, dont certains ont vécu la transition Leuven/Louvain-la-Neuve, et cela m’a permis de me rendre compte à quel point le CI n’est pas juste la guindaille mais une manière de rencontrer des gens avec qui nos chemins ne se seraient pas forcément croisés.»
Photo: © Photokot