Les phrases typiquement étudiantes: le Top 10
A tout âge est associé une série de phrases. Du « J’aime pas les choux de Bruxelles » enfant au « Y a plus de jeunesse » des séniors, on a tous des références communes. Les étudiants aussi.
Il y a certaines phrases qui rythment nos journées lorsqu’on est étudiants à l’université. On s’amuse à se les partager sur les réseaux sociaux, pendant les heures de fourches ou lors des cours. Voici un petit classement, reprenant un condensé des phrases les plus typiques.
10 : « J’ai plus rien à manger »
Surtout présent chez les étudiants vivant en kot, la flemme qui les caractérise fait qu’une fois arrivé au bout de leur régime « pâtes au beurre », ils se rendent comptent qu’il est temps de sortir faire un tour au supermarché. Ou de procrastiner, et d’aller chercher un dürüm en bas…
9 : « Et toi, les études, ça va ? »
Généralement, la réponse peut avoir deux formes : l’évasive « comme ça peut » et la franche « oh, ta gueule ! ». D’ailleurs, on aura très souvent envie de répondre avec la seconde proposition…
8 : « Avoir gagné le tournoi local de « Call Of Duty »… je le met sur mon CV ? »
Qui dit étudiant, dit souvent fauché… Il est temps de se chercher un job étudiant. Le plus dur pour certain est d’obtenir un CV digne de ce nom. Que mettre dans ce papier pour le rendre intéressant? Certains vont chercher assez loin.
7 : « On était sensé étudier cette matière ?!? »
Il y a généralement deux explications pour ce type de phrase. Soit un sommeil soudain t’as fait manquer une partie du cours… ou plusieurs. Soit le professeur avait effectivement dit que la matière n’est pas un sujet d’examen… mais qu’il a oublié ses propos d’il y a quelques mois.
6 : « On a cours où ? »
Ce à quoi les fans de géographie vous répondront en Guyane. Pour le reste, il y aura toujours certains étudiants qui auront lu leur horaire, vu les cours, mais jamais les locaux où ceux-ci sont dispensés!
5 : « On se fait un truc, ce soir ? »
Le cœur dit « Ho ouais, je suis chaud ! » et la raison crie « Ha non, j’ai cours de sociologie à 8h30 demain ». Et souvent, après un combat interne acharné, dans neuf cas sur dix, le cœur gagnera la bataille.
4 : « Capter un Wi-Fi en cours, c’est comme réussir un feu à Koh-Lanta »
Dans beaucoup d’établissements, c’est terrible comme le réseau Wi-Fi rame/bugue/est instable/est absent/est mort. De quoi faire rager tous les étudiants qui voulaient checker Faceb… les diapos mis en ligne de leurs cours.
3 : « T’y vas, au cours de Dubois demain ? »
Les sondages de fin de journée afin de se décider si l’on vient en cours ou non… Mais souvent, on va répondre « Je sais pas, je ne pense pas », et souvent, ces mêmes étudiants seront présents malgré tout, grâce à leur courage, leur assiduité et… « Mouais, mais j’avais rien d’autre à faire »
2 : « Je pense pas réussir cette année… »
Sans doute un processus psychologique visant à amortir la déception d’un échec ou à sanctifier une réussite inattendue. Quoiqu’il en soit, la majorité des défaitistes passeront tout de même à l’étape supérieure !
1 : « Bon, je terminerai ce travail demain… »
Et souvent, cette phrase reviendra quotidiennement, jusqu’au moment du désespoir : « Arghl, c’est pour demain, et j’ai encore 20 pages à écrire… HELP ! »
On pourrait encore en sortir plein, chacun aura son classement à lui, mais y a pas à dire : tous différents, mais tellement pareils !
JDT