L'Orgaz'Music t'invite à la soirée Big Electro!

Le 24 février aura lieu le Big Electro, une grande soirée organisée par l'Orgaz'Music sur le Parking de l'Eco à Namur. L'occasion pour nous de rencontrer les membres motivés de ce kot-à-projet namurois qui nous en disent plus sur leur projet ainsi que sur l'événement à venir.

Le projet?

François: Le projet de l’Orgaz’Music consiste à organiser au moins un événement à caractère musical par mois. Cet événement doit bien sûr être facilement accessible pour les étudiants, donc pas question de mettre l’entrée à 15 € ou d’organiser un événement trop loin du campus. On s’efforce aussi de proposer des événements variés (concerts, jams, blind tests, tremplins, …)

 

Les activités?

Maïlys: Cinq jam sessions (pour ceux qui ne savent pas ce que c’est, il s’agit d’une petite soirée posée avec des instruments à disposition, tu viens jouer, chanter ou juste écouter). C’est franchement sympa. En ce moment, on crée un classeur avec des paroles et les accords de chansons parce que certains ont envie de participer mais ne savent pas quoi faire et parce que c’est toujours plus chouette quand on peut participer! On organise aussi un blind test et des plus grosses soirées.
Cette année, il y a eu Evolution de la musique (un DJ qui passait des musiques de toutes les époques), une soirée Reggae avec un groupe en direct et il y aura bientôt… le Big Electro! (voir ci-dessous)

 

Différent d'un kot 'traditionnel'?

François: Je pense qu’on est beaucoup plus proches, beaucoup plus liés puisqu’on a un projet commun. C’est loin d’être la première année où j’ai un kot, pourtant c’est la première fois qu’on a une si bonne ambiance. On ne fait pas les mêmes études et on se connaissait pas avant pour la plupart, mais on partage beaucoup de choses en dehors de notre passion pour la musique.

Maïlys: Bon, moi je suis membre externe mais je me permets de répondre aussi. C’est vrai qu’au kot, on se fait des amis, on papote, parfois on boit un verre ensemble ou on cuisine à plusieurs mais c’est pas pareil que dans un KAP. On est tous unis autour d’un projet commun et avec la même passion: la musique. On est tous différents, on a tous notre style, on est un groupe assez hétérogène en fait, mais c’est ça qui est super car chacun apporte sa petite pierre à l’édifice (ou sa musique à la playlist)! Et le fait d’avoir ce même projet, ça rassemble tout le monde. Tout n’est pas toujours rose, mais même, être dans la même galère parfois, ça crée des liens encore plus forts!

 

Avantages et inconvénients?

François: Les avantages pour moi, c’est clairement s’amuser, connaître des personnes qu’on n'aurait jamais connues sans ça.

Pour les inconvénients, je dirais simplement le temps qu’on y consacre parfois. Rien d’insurmontable bien sûr, et ce serait malvenu de s’en plaindre parce que personne ne nous a forcés à faire partie d’un KAP. Malheureusement, il y a pas mal de profs qui ne comprennent pas ce que ça implique et qui prennent vraiment ça à la légère… On ne demande pas un traitement de faveur, mais être catalogué comme fêtard invétéré et gros sécheur alors qu’on a simplement envie de s’impliquer dans autre chose que nos cours, c’est un peu dommage.

 

Un meilleur souvenir?

François: Un peu difficile de choisir entre les afters qu’on a déjà faites, les moments qu’on partage ensemble via les repas kots, quand on regarde un film tous ensemble, qu’on sort tous ensemble à une soirée… Je crois que pour l’instant mon meilleur souvenir ça reste la soirée mémorable qu’on a passée lors du Rallye AKAP (une soirée organisée par l’AKAP, dont le but est de définir le meilleur kot-à-projet via des concours). Bon, on n'a rien gagné, mais on s’est tous très bien amusé! J’ai même fini par danser sur une table alors que je suis plutôt du genre timide, j’en entends encore parler…

Maïlys: Pour moi, ce sont les jams en général! Il y a toujours une bonne ambiance! J’y ai déjà rencontré pas mal de gens, parfois je les recroise dans la rue, il y a un moment d’hésitation du genre «on se connaît, non?» puis ça fait tilt et on parle comme si on se connaissait depuis toujours! Une fois, il y avait un type avec un harmonica, une autre, un mec avec un djembé, … Je retiendrai surtout ma rencontre avec un bassiste qui doit avoir mon âge, il jouait assez bien et on s’est marré à deux toute la soirée! Puis le voir jouer sur ma basse de Minimoy (elle est vraiment toute petite) était assez drôle!

 

Une anecdote?
François: En début d’année, il n'y avait que deux personnes qui savaient utiliser correctement la sono… Chaque fois qu’on devait faire quelque chose, on était bloqué si Delphine ou Camille n'était pas là!